A la suite de notre article intitulé : « ESU Thomas LUHAKA LOSSENDJOLA appelé à mettre de l’ordre à l’Université Président KASA-VUBU de Boma »
En liminaire de cette Mise au point qui se focalise pour l’essentiel sur le chapelet de « Réalisations du Comité de gestion de l’Université Président Joseph KASA-VUBU », le Recteur, Madame le Professeur Anastasie MASANGA MAPONDA, sans prétention de se vanter, ni d’être née de la cuisse de Jupiter,entendez, l’unique à mieux faire, s’estime victime d’une haine viscérale parce qu’elle a relevé le défi, ayant réussi là où ses prédécesseurs ont échoué. Qui, faute de le reconnaître, optent de manifester leur jalousie et leur haine à son endroit.
En liminaire de cette Mise au point qui se focalise pour l’essentiel sur le chapelet de « Réalisations du Comité de gestion de l’Université Président Joseph KASA-VUBU », le Recteur, Madame le Professeur Anastasie MASANGA MAPONDA, sans prétention de se vanter, ni d’être née de la cuisse de Jupiter,entendez, l’unique à mieux faire, s’estime victime d’une haine viscérale parce qu’elle a relevé le défi, ayant réussi là où ses prédécesseurs ont échoué. Qui, faute de le reconnaître, optent de manifester leur jalousie et leur haine à son endroit.
Tandis que le monde autour d’elle s’interroge et s’étonne sur la manière de faire pour la défenestrer.
C’est à croire que ceux qui la combattent rêvent de venir la remplacer, avec pour seul objectif de mettre l’Université sous coupes réglées afin de mieux la piller de fond en comble alors que ce qui se voit aujourd’hui est le fruit des sacrifices pour qu’on en arrive là.
Pasteur de son état, Théologienne d’obédience Protestante, Madame le Recteur considère l’Université P.J. Kasa-Vubu comme un champ d’apostolat, un lieu de service et non d’enrichissement.
Dans le chef de l’équipe dirigeante de l’Université P.J. Kasa-Vubu, tous les malheurs et tous les coups proviennent de l’Eglise Catholique qui est à Boma et qui , par ses hauts dignitaires, tient à faire de cette Institution d’Enseignement Universitaire, "Officielle" depuis 2006, une Université exclusivement Catholique.
Celle-ci, croit-on, voulant prendre coûte que coûte la gestion de l’Université, considère qu’elle serait l’obstacle majeur pour la finalisation de ce plan, et donc la bête noire qu’il faille abattre à tout prix.
Que pour cela, le metteur en scène tout trouvé pour la réalisation de ce schéma serait un grand fauteur des troubles, Prêtre de son état à qui l’on impute d’avoir voulu tenter de soulever les étudiants plus d’une fois.
Et que pour cette raison, nous écrit-on, le Conseil d’Administration à son temps avait levé l’option à ce que le Professeur Abbé César Vumuka lu Nanga soit transféré dans une autre institution pour permettre au Comité de gestion de l’UKV d’œuvrer en toute quiétude.
Que celui-ci n’a plus de charge horaire, question de ne pas lui permettre d’être en contact avec les étudiants.
L’argent étant le nerf de la guerre, l’on croit savoir égalemment qu’avec la gratuité de la formation initiale, les calotins catholiques lorgneraient sur la rétrocession des recettes de l’Université, alors que celle-ci a ses défis propres.
Ce serait donc pour parvenir à déverrouiller l’UKV à cette fin tacite mais stratégique que toutes les batteries seraient ainsi mises en marche.
Mais dans une telle guerre des tranchées,avec des protagonistes connus, ne peuvent triompher que la voie de la raison, du patriotisme et celle du savoir-faire.
Voilà qui explique les grandes réalisations de l’actuel Comité de gestion de l’UKV telles que nous transmises, sans compter les équipements en bancs,les ordinateurs,les charrois automobiles, la régularisation des années académiques en chevauchement héritées des prédécesseurs,le climat de paix depuis que le Comité de gestion avec à sa tête le "Professeur Anastasie Masanga Maponda" est là, comparativement aux soulements à répétition des étudiants avant , le site universitaire sécurisé par la plantation d' arbres, l' achat d'un nouveau terrain de 10 hectares, le payement régulier de la prime échelonné sur 12 mois..
C'est pour servir ce que de droit.Pour que nul n'en ignore.Et qui vaut ici Mise au point.
Eugène Ngimbi Mabedo