RDC : «Kabila devra se retirer du PPRD parce que ce parti n’est pas dans le vrai», Dr Benjamin LONGO MBENZA
«Joseph Kabila devra prendre ses distances vis-à-vis d’un Parti qui n’est pas dans le vrai. Car si le PPRD était dans le vrai, 95% de la population ne serait pas dans l’insécurité alimentaire. Il ne saurait rester accroché à un parti qui regorge des griots aux cymbales retentissantes, des magiciens et autres flatteurs qui tentent de le tirer vers le bas alors qu’il vient d’opter pour l’avenir.
«Joseph Kabila devra prendre ses distances vis-à-vis d’un Parti qui n’est pas dans le vrai. Car si le PPRD était dans le vrai, 95% de la population ne serait pas dans l’insécurité alimentaire. Il ne saurait rester accroché à un parti qui regorge des griots aux cymbales retentissantes, des magiciens et autres flatteurs qui tentent de le tirer vers le bas alors qu’il vient d’opter pour l’avenir.
Quatrième poumon de l’humanité ayant donné le caoutchouc aux premières voitures et aux premiers avions et dont le sol regorge des matières précieuses rares que sont le Colombo Tantalite dit le Coltan et le Nobium, preuve que la terre congolaise est présente dans chaque appareil de téléphonie mobile ; ce Congo qui a en son sein le seul animal avec 95% d’ADN qu’est le Bonobo devra impérativement emboîter le pas aux pays dits émergents avec des leaders capables de répondre aux nouveaux défis des changements climatiques avec pour corollaires, les nouvelles sciences qui vont avec, notamment : la chronobiologie, la bioclimatologie, l’illikibiologie, la science relative à l’avancement en âge… ici le contenu d’un ouvrage intitulé «La Bio-Métrologie et la Santé» de plus de deux cents pages que le savant congolais vient de publier à la demande pressante des universités et de l’union européennes.
Car à vouloir rester statique, et donc anachronique, nous risquerions d’être emportés par les vents combien impétueux des changements qui ne sauraient laisser une nation indifférente, fut-elle la République Démocratique du Congo. Et à ceux qui, nombreux, voudraient déstabiliser la Province matricielle du Kongo Central par le sabordage de ses institutions ici exemplaires pour leur solidité et leur stabilité, Docteur Professeur Longo ,rappelle, en érudit multidisciplinaire, vif et quelque peu outré qu’au plan strictement généalogique, le gouverneur de province Jacques Mbadu dont le patronyme «Nsitu» signifie «la forêt» dans ses acceptions lexiques pluriels et paraboliques représente ni plus ni moins Kasa-Vubu au Kongo Central. Il mérite respect.
Mercredi 7 décembre 2016 à la levée du corps de feu Dr Paulin Ditona Mbumba Médecin Chef de Zone de santé du Territoire de Tshela de la Morgue des Cliniques Universitaires de Mont Amba, le Dr Professeur Benjamin Longo Mbenza son ainé s’est prêté volontiers «à bâtons rompus» à nos questions. Question : Amis Auditeurs et Téléspectateurs, nous revoici pour une nouvelle émission «à bâtons rompus nouvelle série 2016» avec le Professeur Longo Mbenza qu’on ne présente plus.
Bonjour Professeur. D r B e n j a m i n L o n g o Mbenza: Bonjour cher ami journaliste et merci. Question : Vous revoilà à Kinshasa. Vous venez d’être reçu par le Président Etienne Tshisekedi, qu’estce qu’on peut retenir de cette entrevue Professeur ?
Dr B e n j a m i n L o n g o Mbenza: Beaucoup des choses. Vous savez ce qui arrive est bon. Le Président Etienne Tshisekedi a toujours la latitude de m’inviter et surtout parfois de lui tracer quelques éléments de perspective, dans la gentillesse. Quand je dis, de la gentillesse, il y a un philosophe qui a dit, la gentillesse est le langage d’un sourd qui veut entendre ! La gentillesse est le langage d’un aveugle qui veut voir !
Question : En d’autres termes Professeur ?
Dr Benjamin Longo Mbenza : Il faut dire oui quand il s’agit de dire oui, non quand c’est non. Eh bien! le P r é s i d e n t Tshisekedi m’a présenté ses très sincères condoléances. Je viens de perdre mon petit frère le Dr Paulin et je viens de l’enterrer à Tshela parce que pour les Bakongos comme les Balubas, nous devons aller enterrer nos ancêtres, un ancêtre c’est celui qui meurt paisiblement après l’harmonie avec la communauté. Quand vous mourez d’une mort violente, vous n’êtes pas un ancêtre : «Bakulu». Vous savez ? Je dois aller revoir les ancêtres qui sont des saints, dont le grand ancêtre. Je vais parler de Président Joseph Kasa-Vubu. Parce que le Président Tshisekedi a toujours pensé faire quelque chose pour le Président Joseph Kasa-Vubu. Nous avons parlé de la paix. Vous savez, je suis Ambassadeur pour la Paix ; j’ai réitéré mes remerciements au Président Etienne Tshisekedi de suivre «Vox Populi, Vox Dei». Vous savez, les gens blaguent. La voix du peuple, c’est la voix de Dieu. Mais il y a plusieurs dieux, entendez, je vais parler de la divinité, tous les attributs d’être un dieu. Il y a un Dieu en Majuscule, en lettre D Majuscule, l’Eternel. Il y a aussi les petits dieux en minuscule. C’est nous les hommes. Et Dieu nous a donné la mission, après la vision, le mandat, les objectifs… de transformer l’humanité. Transformer notre Afrique. Et je vais vous rappeler, Frantz Fanon disait que l’Afrique était un revolver, et dont la gâchette se trouve au Mayombe.
Question : Merci professeur. Mais concrètement par rapport à la situation politique actuelle, vous n’avez pas échangé avec le Président Tshisekedi ?
Dr Benjamin Longo Mbenza : Mais comment ne pas parler de l’avenir, si nous n’avons pas semé le passé parce qu’à travers le présent, et parler du Futur antérieur. Je vous ai toujours parlé du Futur antérieur et, donc, nous avons parlé de façonner un leadership visionnaire selon le respect, la Prophétie de Tata Kimbangu, l’Oracle du Président Joseph Kasa-Vubu. Et donc nous lui donnons tous
les éléments, les matériaux durables, nous voulions parler du développement durable, un leadership, une gouvernance avec transparence. Et j’ai donc beaucoup félicité le Président Etienne Tshisekedi de rendre compte au peuple congolais. Mais je lui ai dit que nous allions le faire dans un esprit de paix. Il faut que les gens se disent la vérité, il faut toujours être du côté de la vérité. Tenez. Quand le Président Joseph Kasa-Vubu avait révoqué le Premier Ministre Patrick L u m u m b a , v o u s , v o u s l’appelez Emery Patrice, non c’est Patrick- le lendemain, ils se sont retrouvés chez le Président Kasa-Vubu, Le Premier Ministre Patrick Lumumba avec le Président Kamitatu, et ils ont beaucoup parlé. Mais ce jour-là, ils ont mangé. C’est pourquoi on l’appelle «le Plat national». Je ne sais pas si vous connaissez «le Plat national» ?
Question : Lequel Professeur ?
Dr B e n j a m i n L o n g o Mbenza : Pondu ya Madede, ya Madesu.
Question : Merci Professeur. Si on peut rebondir sur l’audience vous accordée par le Président Etienne Tshisekedi. L’actualité politique, ce sont les Accords de l’Union Africaine. Et les Evêques viennent de recevoir le «go» du Président de la République ; la démarche est saluée par Tom Perrielo, l’envoyé spécial du Président Obama des Etats-Unis dans la Région des Grands Lacs ; la démarche est saluée par «Le Rassemblement». Quelle est votre position par rapport à cette reprise du dialogue pour qu’il soit véritablement inclusif, Professeur ?
Dr B e n j a m i n L o n g o Mbenza : D’abord je dois être bon sang ce sang. Moi je viens de la Royauté. Vous savez, il y a toujours un deuxième Royaume du Ciel. Je dois féliciter sincèrement le Président Joseph Kabila. J’ai toujours parlé des « Joseph », plusieurs «Joseph» de la RDC. Aujourd’hui je dois penser à mon petit neveu Joseph Olengankoy. Et donc le Président Joseph Kabila a gardé la foi ; il a gardé l’idée de justice : de ne pas modifier la Constitution, et je m’en félicite. Je l’ai toujours dit dans vos émissions, j’étais sûr que le Président Joseph Kabila n’allait pas modifier la Constitution.
Question : Par rapport aux Accords, Professeur ?
Dr Benjamin Longo Mbenza : Deuxièmement, je félicite l’implication que je dirais, comme le Bon Samaritain avec un altruisme dangereux parce que les gens ne connaissent pas le Président Etienne Tshisekedi qui arrive maintenant avec un altruisme dangereux. Il faut le bon temps pour venir, c’est le meilleur temps ; c’est le bon temps parce que le Président Etienne Tshisekedi s’implique devant Les Pères (ndlr, de l’Eglise).
Question : On l’a vu aller à la CENCO pour saluer cette Institution catholique…
Dr Benjamin Longo Mbenza : Mais je savais qu’il devait aller là-bas parce qu’il a toujours répondu à l’appel de la population.
Question : Que devient alors le Premier Ministre nommé Samy Badibanga dans cette nouvelle donne ?
Dr Benjamin Longo Mbenza : Je voudrais dire quelque chose. Tout ce qui arrive est bon. Même le jour où Caïn tuait Abel, Dieu n’a pas empêché Caïn de tuer Abel. Non. Une minute, un jour, une semaine, un mois, deux mois, trois mois, et comme nous dans la Mathématique du Bon Dieu, trois ans si le Premier Ministre est capable de répondre à la question de Dieu : «Samy, où est Abel ?» «Samy, serez-vous capable de mettre tout le monde, après les disputes, vous voyez les calebasses, ça ce sont les enfants, après le calme, ils doivent se retrouver ! Est-il capable ? Il doit être seul devant sa propre conscience, mais moi je lui dirais, moi j’ai toujours gardé mon baptême, je l’ai dit aux Pères, aux Evêques qui sont «Le Pape» au Congo. Est-ce que Samy sera capable d’être la conscience des Balubas, des Balubas et des Bayombe ? Serait-il capable de rester la conscience du Président Etienne Tshisekedi ? Parce que nous avons toujours besoin des leaders qui créent d’autres leaders.»
Question : Mais Professeur dans l’une de vos dernières interventions, vous aviez annoncé urbi et orbi que le 19 décembre 2016 il n’y aura rien, professeur, si on peut revenir à cette annonce que vous aviez faite voici quelques mois ? Nous voici à quelques deux semaines de la date fatidique pour les uns, «il n’y aura rien pour les autres», qu’est-ce que cela veut dire Professeur ?
Dr Benjamin Longo Mbenza : Eh bien l’espérance ne trompe pas, l’espérance ne trompe pas. Et je parle de «sacerdoce magnus», des chefs des Diocèses de ce pays, les «Mbuta Nganga». Quand je vous ai dit cela, c’est parce que j’ai la foi en l’espérance qui ne trompe pas. Ce sera quel jour ? Le 19 décembre 2016 ? Eh bien chez nous les Bakongos, on avait un calendrier de trois jours. Le premier jour, Kikunda, deuxième et le Mercredi, c’était la fin de la semaine. Nos enfants les juifs, ils ont prolongé à six jours, les musulmans…
Question : Je crois savoir Professeur que le 19 décembre 2016 est un lundi, sauf erreur de ma part ?
Dr Benjamin Longo Mbenza : Comme c’est le premier jour de la semaine, ce sera la Parabole. Mathématiquement la Parabole signifie l’Unité. C’est ce jour-là qu’il y aura l’union, l’unité, l’unicité et la continuité de la prophétie de Kimbangu.
Question : Pas d’apocalypse Professeur ?
Dr Benjamin Longo Mbenza : Mais il dit à Jean à l’île de Patmos, écris : «Il y aura une Cité équilatérale, équilibrée où les côtés, la largeur, la longueur, la hauteur sont à longueur égales. Vous comprenez quand vous parlez d’apocalypse. Et moi je sais, il y aura ce jour là une Cité céleste qui sera mathématiquement comme un triangle. Donc nous avons besoin des leaders qui vont avoir la hauteur, l’élévation de la méritocratie. Vous allez vers Dieu. Nous avons besoin de la sainteté vers le Bon Dieu, la sainteté politique. Je voudrais parler de la largeur, allez vers les autres ; le peuple est malade et la longueur, c’est tout ce qui est de rendre compte à nos parents. Donc l’apocalypse s’était déjà vue dans mon entendement, dans ma vision, dans mes rêves, mais pas rêver debout, mais j’ai toujours rêvé la nuit.
Q u e s t i o n : M e r c i Professeur…
Dr Benjamin Longo Mbenza : C’est moi qui vous remercie. Mais à condition de manger le dimanche 18 décembre 2016 Tsaka Madesu, le pondu ya madezu. Et Lundi 19 décembre à 15 h, que chaque kinois prenne son «doumar» et du «cabri».
Question : Merci Professeur, vous descendez au Kongo Central pour un événement tout à fait douloureux. Vous avez perdu un être cher, Médecin de son état, Docteur Paulin. La Province du Kongo Central est secouée par quelques tensions qui apparemment sont le fait des politiques kinois. Un commentaire Professeur ?
Dr Benjamin Longo Mbenza: Mais je suis d’accord de vous dire quelque chose. Il faut toujours écouter ceux qui savent oser. Je vais vous dire quelque chose du nom du Gouverneur du Kongo Central Jacques Nsitu, Mbadu Nsitu… «Nsitu», c’est la forêt. Dans l’écosystème, nous avons chez nous les Bakongo, deux types de forêts : «Disaka di yombe», «Disaka di ntandu». Et donc, il y a la forêt forêt, malheureusement il y a la déforestation avec les changements climatiques. Et pour aller à la forêt, que ce soit la savane, pour aller à la forêt, la forêt noire, le panier va voir chaque fois la forêt, «ku nsitu»…
Question : Cela veut dire ?
Dr Benjamin Longo Mbenza : Cela veut dire, il faut aller à la forêt prendre les médicaments, l’arbre, les patates, les ignames et donc «Nsitu» il est aussi au plan généalogique, il est «Kasa-Vubu».
Question : C’est-à-dire ?
Dr Benjamin Longo Mbenza : Quand vous allez à la forêt, il ne faut pas manger tous les fruits ; quand vous allez à la forêt, ne mangez pas tous les champignons, certains sont vénéneux. S’il y a un doute, s’abstenir. Et je sais le respect, l’amitié que le Président Joseph Kabila a pour Joseph Kasa-Vubu et qu’il a pour Jacques Mbadu qui a accepté de vous donner un leadership des Bakongos. Nous ne volons jamais. Et donc le PPRD doit s’impliquer ; il faut s’abstenir ou alors, il ne faut pas faire ce que Monseigneur aujourd’hui Cardinal Monsengwo disait : «Il ne faut pas pointer le doigt, il faut chaque fois mettre le doigt».Il y a beaucoup des pharisiens. Je dis au Président Joseph Kabila aujourd’hui, il est entouré de beaucoup des gens avec des cymbales, des bruits, beaucoup des bruits ; des griots, beaucoup des magiciens, des flatteurs… Vous savez quand vous êtes Chef de l’Etat, il faut parfois demander, il faut demander et dans la démocratie, l’oxygène, il faut demander à l’autre opposant, qu’est-ce que vous pensez, c’est ça la science , la recherche, et je suis content de rappeler que quand quelqu’un se moquait du Président Washington, alors il lui dit : «Eloignez-vous du parti qui n’est pas dans le vrai» ! Si le PPRD est un parti du vrai, quatre-vingt-dix ne seraient pas dans l’insécurité alimentaire. Les gens sont malades. Et dans la Bible, nous avons besoin des médecins; y a-t- il des médecins, y a-til de baume en galates ?Des libérateurs. Et les Bakongos étaient des libérateurs de ce pays. Je dis au Président Joseph Kasa-Vubu, comme il a toujours été attentif comme le Président Joseph Kasa-Vubu, le silence est d’or. L’aggiornamento. Mais il nous a dit : «Maintenant, allons vers l’avenir». Et vous les gens du PPRD, vous voulez blaguer avec le Muyombe ? C’est nous qui avons amené l’or à Jésus.
Question : Les mages sont venus du Mayombe ?
Dr Benjamin Longo Mbenza : Mais bien sûr, c’est nous nous, et c’est pour cela par mépris, les blancs appellent Bayombe «Les Magiciens» : «Ba-Khimba».
Question : Merci Professeur. Changements climatiques. Vous êtes nominé expert pour le compte de l’OMS, l’Organisation Mondiale de la Santé pour tout ce qui concerne les changements climatiques. COP 22…Un mot, Professeur ?
Dr Benjamin Longo Mbenza : Eh bien, je voudrais parler du symbolisme. C’est depuis plus de trente ans que je travaille sur les changements climatiques. Et à la demande pressante de la Communauté Européenne, des universités européennes, il y a trois jours, le livre sur les changements climatiques, «La Bio- Métrologie et la Santé» vient de sortir, publié par l’Europe. Vous savez la Cliniobiologie, le temps, les changements climatiques, c’est le temps. Et maintenant l’âge, le vieillissement, c’est aussi une partie de la Chronobiologie que nous appelons la Cliniobiologie. Eh bien, il y a plus de deux cent pages ; c’est un Chef d’œuvre, une lithographie, une pierre, comme Dieu a donné à Moïse, et je pense à Moïse Etienne Tshisekedi et je lui ai parlé en primeur de toutes ces recherches sur les changements climatiques.
Question : Nous avons parlé de vos prédictions, sinon de vos prophéties. Vous aviez prédit l’élection de Trump aux Etats-Unis. Vous aviez déjà prédit l’élection de JeanPaul II comme Pape…?
Dr Benjamin Longo Mbenza : Non, non, l’élection de François comme Pape. Et je suis allé à la Première Messe de Jean-Paul II comme Pape à Noël à son invitation. Je me souviens, quand vous entrez au Vatican, c’est à droite. Et j’étais là. Puis, je suis allé là en 2006 pour lui parler du Congo. Il m’a parlé des Tutsi qu’il faut sécuriser. Je lui ai demandé s’il était opportun pour l’eglise de reprendre L’Université Lovanium, il a dit Non. Et puis il m’a parlé de beaucoup des choses.
Question : Vous avez prédit l’élection de NKURUNZIZA au Burundi, rien à redire à l’instant. Quelle est la dernière prophétie que vous voulez nous donner comme mot de la fin ce soir Professeur ?
D r B e n j a m i n L o n g o Mbenza: Le pays Congo qui n’est pas simplement Congo, mais c’est l’Afrique Centrale. L’Afrique Centrale bientôt va entrer dans le rejeton du léopard. Le cheval blanc est déjà passé. Le cheval jaune est en train de passer. Maintenant le léopard va venir. L’homme qui porte la peau de Léopard signifie que c’est l’homme qui amène la justice, le Léopard, Kuango, Yo-ngo, Pharaon, la démocratie pharaonique, c’est lui qui va continuer avec le cheval jaune. Et je pense, vous connaissez le cheval blanc, je vous ai parlé de Pouthine qui a introduit le léopard en Caucasie, kau-ka, la terre, nsi, ba fazi, et donc le monde a besoin d’un léopard qui va protéger le monde, et le Congo, c’est le quatrième Poumon de l’humanité. C’est le seul pays qui a donné le caoutchouc pour donner les pneus aux voitures, aux avions; c’est le seul pays qui a le sol et des terres rares, le Coltan, le Nobium. C’est ce pays qui donne à chacun une téléphonie. Donc, c’est ce Congo qui a le seul animal qui a 95% d’ADN, le « BONOBO ».C’est dans ce pays que se trouve le Congo. Donc ce pays le Congo doit emboiter le pas de tous les leaders du monde. Et c’est pour cela que nous avons besoin du Président Trump pour aider le Congo. Nous avons besoin des leaders qui savent quand secouer ses sandales, quand secouer la poussière, quand il faut partir. Et vous voyez, le monde est autour du changement climatique. Demain, les hommes seront bleus. Voyez les maladies viennent. Les noirs ont maintenant les peaux qui sont blanches, qui sont viticoles. Nous aurons beaucoup d’albinos qui vont revenir. Et regardez maintenant les yeux des kinois qui naissent, leurs yeux sont bleus. Vous n’êtes pas attentifs. Regardez : les Safous ne deviennent plus noirs ; ils restent blancs ; ils tombent précocement. Et maintenant avec nos recherches, la saison sèche est en train de disparaitre. Nous allons vers beaucoup d’inondations. Je prie que Dieu ne nous envoie pas à l’autre déluge.
Q u e s t i o n : A m i s téléspectateurs, tout le plaisir était pour nous. A chacun de décrypter les dits et les non-dits de ce que le Professeur nous aura donné ce soir. Merci à vous Professeur.
D r B e n j a m i n L o n g o Mbenza : C’est moi qui vous remercie. Et tous les congolais, ba-Kinois, Samedi soir, Dimanche, bokende dans toutes les Eglises avec les vrais prophètes.
Question : Merci professeur.
Dr Benjamin Longo Mbenza: C’est moi qui vous remercie.
Propos recueillis par Eugène Ngimbi Mabedo